La COP28 à Dubaï a été historique, marquant la conclusion d’un accord dans la lutte mondiale contre les changements climatiques. Les pays participants ont adopté des mesures ambitieuses. L’objectif est de réduire de manière significative l’utilisation des énergies fossiles, tout en limitant le réchauffement climatique.

L’urgence de la transition énergétique

L’accord historique de la COP28 découle de la prise de conscience des conséquences dévastatrices de la dépendance aux énergies fossiles. Les délégués ont reconnu que la réduction des émissions de gaz à effet de serre était cruciale pour maintenir le réchauffement climatique en dessous du seuil critique de 1,5° celsius.

Engagements concrets

Les pays participants ont pris des engagements concrets pour réduire leur dépendance aux énergies fossiles. Ils ont donc discuté des calendriers spécifiques de sortie progressive pour chaque nation, reflétant les réalités économiques uniques et les défis auxquels chaque pays est confronté. Ainsi, ces engagements incluent :

Mesures d’accompagnement

L’accord signé comprend également des mesures visant à soutenir les pays dans leur transition vers des sources d’énergie propres. Les nations en développement ont alloué des fonds pour faire face aux coûts initiaux de cette transition. Ainsi, cela favorise une approche équitable et inclusive.

Suivi et transparence

Les pays ont mis en place un mécanisme de suivi et de transparence pour garantir le respect de leurs engagements. Les nations participantes soumettront régulièrement des rapports sur les progrès réalisés dans la réduction de l’utilisation des énergies fossiles, renforçant ainsi leur responsabilité collective.

L’accord conclu à la COP28 de Dubaï représente une étape cruciale vers un avenir plus durable. En réduisant l’utilisation des énergies fossiles, les pays participants démontrent aux yeux du monde leur détermination à lutter contre le changement climatique. Toutefois, en choisissant le terme de « transitioning away » (s’éloigner) et non pas « phase out » (sortie), le texte final contient des avancées majeures, sans pour autant marquer la sortie définitive des énergies fossiles.

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